Un recoin de paix (Pv Gabrielle)

Une demie heure s'était déja passée. Gabrielle finit finalement par se réveillée. L'autre était encore là.. Heureusement. Il avait l'air découragé, Un peu trop à son gout. On aurait dit qu'il pensait qu'il l'ennuyait royalement. Mais pourtant ce n'était pas le cas..

- Écoutes tu ne m'ennuiyais pas si c'est ce que tu crois...

Elle s'étira un peu et s'essuya les yeux.

- C'est juste que j'ai eu une nuit difficile...

* Il est tellement bizarre quand il veut ! Comme si je ne l'aimait pas.. Je le prend comme mon petit frère! *

De longues minutes passairent, c'elle-ci avait plutôt l'air d'heure aux yeux d'Éribe, mais bon. Lorsqu'il songeait à partir, un signe de vie parus. Elle pris finalement la parole.

*Ce n'est pas moi qui l'ennuie, c'est déjà un bon signe...*

Il l'a regarda s'étirer. Éribe la regarda avec atention. Mais lorsqu'elle sortie le ''C'est juste que j'ai eu une nuit difficile...'', il ce mis à douter un peu de la première phrase. Mais bon, il essayas d'ignorer cette pensée.

-Donc, pour revenir à ma question, peut tu me dire ce qui à produit que tu arrive ici, t'est dèrnier instant dans le ''vraie monde''?

Gabrielle était encore endormie un peu mais pas suffisament pour se rendormir. C'est alors qu'une question, dont elle était sur d'avoir déja entendue il y a quelque secondes de ça, mais en fait cela fesait déja une bonne demie heure. Gabrielle n'avait pas percu le temps aussi vite que Eribe. Lui avait prit ca pour des heures tandis que elle pour des secondes.

- Bah mes parents étaient divorcés et je n'ai jamais revu mon père. Un jour j'était dans un centre d'achats et j'ai eu l'impression de le voir mais il a refuser de l'admettre. Folle de rage j'ai utilisé mes pouvoirs et j'ai perdu le contrôle. Pleins de monde son mort... Même mon père.. Donc il ont sut que javais des pouvoirs donc il m'ont amenés ici...

Gabrielle regarda un peu dans les airs et dans l'arbre il y avait des pommes. Elle en prit deux et en tendit une vers Eribe.

Il posa la question et recue une réponse comme il le désirait. Éribe ne savait pas pourquoi il s'était inquiété d'une réponse interminable... Peut être passait il trop de temps avec Kaoru? Peut importe. Sa réponse fut clair et net. Et vu qu'il connaissait quelque chose de plus chez elle, il voulais qu'elle conaisse quelque chose de plus chez lui. Il allait prendre la parole lorsqu'elle lui tendis une pomme. Il la pris et croquas une bouché.

-Merci, c'est gentil

Il lanças un de c'est petit sourire charmeure et pris la parole comme voulus.

-Moi aussi sa c'est passé dans un centre commercial, mais moi même je n'est pas trop compris : Mon père était en voyage d'affaire en Allemagne. On était dans le centre lorsqu'on vis un énorme dragon et quelque fantôme. J'ai alors quitter mon corp pour quelque instant. Mais quand je suis revenus, mes parents étaient tous les deux morts, le dragon et les fantômes disparus. Je suis sortis du centre et des gars en noir mon balancé dans une voiture et me voila ici...

Il pris une croquet de sa pomme tout en versant une petite larme. C'elle-ci glissa sur la pomme et tomba au sol.

Gabrielle trouvait que son histoire avait beaucoup de simillitude avec ce qu'elle avait vécue. En plus c'était dans la même ville. Peut-être avait-elle tuer les parents de ce pauvres Eribe. Entoucas si c'était le cas, elle s'en voudrais vraiment à mort... De la sueur commençait à couler sur son front... Elle était morte de trouille... Elle bafouilla un peu..

- En.. En all-all-alllee- allemagn.. allemagne ?

Soudain elle devenu encore plus rouge... Et elle se rendit compte que les taux se ressairaient. En plus ce jour là elle avait invoqué des fantômes et encore plus pire un dragon... Soudain elle se mit a crier.

- FANTÔMES ! ? DRAGON ? !! NE ME DIT PAS QUE...

* Merde si je les ait tuer ! Vaut mieux m'pendre... *

Pendant sont histoire, la jeûne femme semblait vraiment avoir une de ces chaleurs. La sueur coullait sur elle comme un ruisseau ou encore, un fleuve. Pourtant, à l'ombre, on était plutôt bien... Mais elle ne semblait pas vraiment avoir si chaud que sa, cela ressemblait plus à du stresse ou autre chose. Il interompu son histoire pour agréer ce que la jeûne femme avait dit.

-Oui, en Allemagne.

Elle semblait étrange, comme si c'elle-ci ne voulait pas admetre que c'était belle et bien en campagne. Apreès la clarification, Gabrielle devenus d'un rouge impossible à décrire. Puis, elle répètas encore des bout de sa phrase, mais en ajoutant un ''NE ME DIT PAS QUE...''.

-Oui! Des fantômes et un dragon! Mais qu'est-ce qu'il y a? Et ne pas te dire quoi?

Il commençais à la trouvée vraiment étrange c'ette fille...

*Aurait-elle quelque chose à cacher?*

Il fit mine de rien en la regardant.

C'était claire que Gabrielle avait quelque chose a cacher. Elle hésitait un peu à lui dire qu'elle était une meurtrière mais pas n'importe lequelle en plus, elle avait tuer les parents du gars juste à coté. Comment dire c'était un peu mal alaise comme situation. Gabrielle ne savait vraiment plus trop quoi faire... Et c'est alors que Eribe serra encore plus les taux car il affirma que c'était en allemagne.. Alors avec une voix timide, elle dit..

- Il se trouve que moi aussi j'était là ce jour-là.. Tu comprends ?

Elle espérait de pas devoir être plus claire car il me semble que c'était évident qu'elle l'avait fait cette action. Elle se contenta alors de le regarder avec un regard qui disait tout. Elle se sentait un peu coupable mais pas trop.. De plus elle était tellement directe qu'elle changea aussitôt d'hatitude..

- Bah c'pas d'ma faute s'il était là ! S'il était pas venus rien de tous ça ne se serait passé...

Il n'était pas sur de comprendre. Il faut dire qu'Éribe n'était pas une lumiére lorsqu'il était fatiger... Mais bon. Même s'il avais de la difficulter, sa fonctionnait fort dans sa petite tête. C'est alors qu'il eu une petite idée dèrriaire la tête, mais elle était tellement effroyable, qu'il ne voulait pas y penser. Mais lorsqu'elle rajouta qu'elle était présente ce jour la, tout était devenus clair. Il restas figer, les yeux fixer sur le visage de la dame. Puis, lorsque des larmes ce mirent à tournoyer à la base de ses yeux, il sauta sur Gabrielle, tête sur l'épaule avec un bras qui fesait le tour de sont coup.

-N... no... non...

Éribe avais la gorge beaucoup trop serré pour pouvoir parler. Il ce contenta de pleurer sur l'épaule de la jeûne femme. Il savait qu'elle n'avait pas fait expres, mais tout de même... Il laissa tomber sa pomme qui, elle, roula jusqu'à une roche, plus loin.

Il ne voulait pas que ce soit vrais, il ne voulait pas. Il avait besoin d'une épaule pour pleurer, même si c'est cette épaule qui avait fait en sorte de tuer ses parents. Mais pour le moment, cela lui était égale. Il ne voulait pas penser, que vider ses souffrances et ses douleurs dans de petites goûtes, ce qui allait être vraiment très long. Puis, elle le poussa pour grimper dans un arbre. ''Comme ça, ici, tu pourra pas me tuer!''. Il la regardas froidement, puis dit :

-Si je te tuerais, je m'abaisserais à ton niveau...

Puis, une pomme tomba et lui ajouta une nouvelle bosse. Éribe ce leva, difficilement, et s'en allas vers l'intérieur. Sa démarche n'était pas trop droite, mais cela ne le dérangeait pas.

Il s'en allait tranquillement vers la sortis, qui était en faite l'entré de l'intérieur. Un bruit dur ce fis entendre. Il s'arrêtas net. Après dix seconde, Éribe regarda dèrriaire lui. Rien de spécial : Gabrielle était tomber de son arbre, chose naturel? Peut importe, il continua son chemain vers la porte brunsâtre. Puis, elle lui sortis une phrase qui l'encouragea à continuer son chemain.

- C'est ce que je fais!

Il lença un regard tueur à Gabrielle qui elle ne le regardait même pas. Éribe déposa sa main sur la poigner au loin. Il la tourna et tiras... peut-être même un peu trop fort, car la porte avait sauter de ses goncs et était tomber juste sur Éribe.

-Mmhmm... Ha yaideee... Ha yaide!

Il tenta d'appeller au secour, mais sans succès. Cette porte qui semblait de vieu bois n'était qu'une porte d'acier de deux pousse d'épais.

La porte était entrain de l'écrabouiller, mais pas comme une crêpe, plutôt comme on compacte une voiture... Un mal de tête c'était aussi-tôt installer. Éribe regardait la jeûne femme qui semblait ne pas vraiment être désoler pour celui-ci... Mais s'il était à sa place, il aurait fait la même chose. Puis, il reçus un jolie petit sourire très baveu.

*Arrête de baver et vien m'aider!*

Il savait qu'il n'allait pas en mourire ou être blaisser gravement, mais quand même... c'était douloureux. Il commençait à regreter un peu de l'avoir ignoré... Mais il ne la croyait pas si blesser que sa, après tous, si on à asser de force pour parler, on a asser de force pour ce relever... non? Mais cette théoris commenças à ce dissiper de la tête d'Éribe par ses propres dépends.

-Je... je... m'excuuuzz!

Les mots étaient difficiles à prononcer, pas seulement parcequ'il avait sur lui une porte d'acier de deux pouce de centimètre, mais aussi car la cupalbiliter prennais avantage sur son esprit.

Elle était partie... elle l'avait laissé seul... Il ressentait enfin ce que Gabrielle avait vécus tout à l'heure. Il allait crier à l'aide, lorsqu'elle revint. Puis, avec les mêmes pouvoirs qui avaient tué ses parents, elle fit apparaître un robot. Puis, elle lui lança une énigme à résoudre. Ce n'était pas vraiment le moment, mais bon... Il était un expert en devinette, ça n'allait pas être trop difficile. Le robot pris la parole. Dès que celui-ci expliqua les cinq premiers mots, Éribe compris la devinette qu’il connaissait depuis belle lurette.

-Des trous! Ce sont des trous!

Il esperait de tous coeur que ce ne sois pas une attrape pour ce venger d'Éribe...

Éribe semblait avoir donner la bonne réponse.

*Super!*

Il ferma les yeux en sachant que le poid qui l'écrasait ce dissiperait peut à peut. Il attenda un peu. Puis un bruit de coup dans un métal résonna. La tentation voulait qu'Éribe ouvre les yeux, mais il ne le fis pas. Il attendit encore un peu. C'est alors que Gabrielle ne semblait toujours pas vouloir le libérer. Il ouvris les yeux. Mais, tous ce qu'il pu voir, c'était un poing lui foncer en plein visage. Une douleur suplémentaire s'ajouta, mais à son visage. Vous savez que l'on dit qu'on ne peut resentir deux douleur simultanément... pour Éribe, les douleurs ne fesaient que s'aditionner. Il ouvris un oeil... l'autre, il ne réussissait pas à l'ouvrire.

-Mais qu'est-ce qui te prend! J'ai compris! Je tu ma fait soufrire, je t'est fait soufrire puis tu ma encore fait soufrire! J'ai compris! Tu à le dernier mot! Mais pas obliger de me frapper en plus!

Éribe était vraiment frustré... de plus, une de ses dents bougeait quelque peu, son nez saignait et il avait un début d'oeil au beurre noire. Coriace la petite... Mais Éribe ne savait pas vraiment ce qui s'était passer, c'est pourquoi, il en voulait deux fois plus à Gabrielle!

Bon, ce n'était pas exactement comme cela qu'Éribe imaginait son après-midi, mais bon... Puis, Gabrielle expliqua que ce n'était pas elle. Qui étais-ce alors? Mais il ne ce préocupas pas de sa. Car, lorsqu'il si attendait le moin, la porte fus soulever d'Éribe. Il eu de la difficulter à ce relever, mais, en vain, il réussi. Une fois debout, il appreçus la porte de nouveaux... Mais c'elle-ci écrasait maintenant Gabrielle. Éribe commenças à paniquer.

-He... qu'est-ce que je fais? Qu'est-ce que je fais hein!?

Il regardas Gabrielle. Allait-il la laissée la, une foie pour toute? À, et puis non. Il allais l'aider, mais comment. Il songeas un peu. Puis, il ce souvint de la feuille tout à l'heure. Éribe allait utiliser son pouvoir de télékinési pour déplacer la porte. Après tous, c'est comme le vélo, ça ne s'oublis pas.

-Ne t'inquiète pas, je vais t'aider...

Les yeux d'Éribe devinrent d'un blanc complet. Il fixas la porte avec beaucoup de consantration. Un auras bleu ce créa autour de la porte, comme avec la feuille. Puis, elle ce mis à ce soulever tranquillement. Mais des goûtes de sueur coulaient sur le frond d'Éribe... Mais, il était vraie que la porte d'acier de deux pouces d'épais pouvait être plus lourd à soulever qu'une simple feuilles. La porte ce soulevait vraiment tranquillement. À 20 centimètre, une veine bleu apparus au côté de l'oreille.

-Va t'en, vite!

La porte commençais de plus en plus à vouloir retourner écraser la jeûne femme.

Enfin, elle était en sureté, de l'autre coté de la porte. Elle en à causer des ennuis c'elle la! En tous cas, on n'en reparlera pas de si tôt. Puis, elle fis remarquée qu'Éribe avait quelque goûte de sueur qui coulaient de son frond.
Dans ses souvenirs les plus lointains, Éribe n'avait jamais eu de sueur. C'est un peu car ses glandes ne sont pas très évolué, mais ce n'est pas grave.

-De rien... Et je m'excuse de t'avoir laisser la, tout à l'heure... Je ne voulais pas vraiment.

Il comprenderait si elle ne voulait pas le pardonner, après tout, un peu plus et il l'aurais laisser la, agonisante sur le sol... En fait, c'est bien ce qu'il fis. Mais à son âge, les dessins animés et autre niaiseris pouvait parfois remplacer la vériter par d'autre chose. Comme par exemple, dans le cas ici présent, que tomber d'un arbre ne fesait pas si mal... Bon, il n'était jamais tomber d'un arbre, c'est vraie... (Je te vois venir... ce n'est pas une raison pour lui faire essayer.) mais il est en âge d'apprendre.

*Comment lui faire comprendre que je suis vraiment désoler?*

Il ce posa la question à lui même, avec un air songife.